Beau Weekend - 27 & 28 Juin - Paloma (Nimes)








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PROGRAMMATION









Avec Several Songs About Fire, A. Savage fusionne folk dépouillé, post-punk et rock alternatif dans un album intense et introspectif. Enregistré en dix jours avec John Parish, il mêle guitares acoustiques épurées, saxophone fiévreux et rythmiques brutes pour créer une atmosphère à la fois intime et abrasive. Porté par une écriture poétique et lucide, Savage transforme le quotidien en visions saisissantes, entre influences de Townes Van Zandt et tension new-yorkaise héritée de Parquet Courts. Un disque ardent, où l’émotion brute se heurte à une urgence sonore viscérale.



Avec Microtonic, bdrmm opère une mue éclatante : plus libre, plus électronique, plus audacieux. Sans renier ses racines shoegaze, le groupe mêle désormais nappes ambient, beats dansants et collaborations inattendues dans une démarche résolument collective. Né d’un sentiment post-pandémique d’étrangeté et d’angoisse, l’album se nourrit d’influences allant de David Lynch à Thom Yorke, tout en affirmant une identité propre, dense et sincère. Porté par des titres comme Infinity Peaking ou Lake Disappointment, Microtonic est une déclaration d’indépendance artistique, un manifeste à la fois introspectif et euphorisant : celui d’un groupe qui sait enfin ce qu’il veut être.


BONJOUR est un collectif franco-américain fondé en 2024, au croisement du rock’n’roll, de la poésie et de l’expérimentation scénique. Porté par une section rythmique organique, des guitares tendues, des synthés nerveux et des textes oscillants entre spoken word et absurde existentiel, le groupe propose une performance en perpétuelle mutation, où les rôles s’échangent et les instants se réinventent. Sans single ni clip, mais déjà repéré aux Bars en Trans, Bonjour s’écoute, se vit, se découvre en live.



Avec une énergie et un dynamisme incomparable, Deki Alem est un groupe sans frontières, impossible à mettre dans une seule case. Créant sans cesse de nouveaux ponts dans la musique moderne, le duo de frères jumeaux est pour ainsi dire multi-visages. Avec une pureté et une masculinité sensible, Deki Alem mélangent les sous-genres tels que la drum & bass, la dance le grunge et le rap de manière harmonieuse. Après avoir sorti deux clips pour “Razor” et “Wet Paint”, le duo a sorti le single “Act Nice” suivi de son premier EP “Among Heads” le 1er avril et produit par LIOHN et Klahr (Lady Gaga, Bree Runway, Swedish House Mafia).



Death in Vegas est un groupe britannique fondé en 1994 par Richard Fearless, mêlant électro, rock, dub et psychédélisme. Connu pour ses atmosphères sombres et hypnotiques, le groupe s’est fait remarquer avec des albums comme The Contino Sessions (1999) et Scorpio Rising (2002), collaborant avec des artistes comme Iggy Pop, Liam Gallagher, Jesus & Mary Chain et Mazzy Star. Expérimental et cinématographique, leur son unique oscille entre techno industrielle et rock psychédélique, faisant de Death in Vegas un acteur majeur de la musique électronique alternative.



Avec un nom pareil, difficile d’imaginer Enola Gay jouer du folk acoustique : formé à Belfast en 2019, le quatuor irlandais balance un punk-rock aussi tendu qu’explosif, entre hurlements post-punk, beats hip hop et murs de guitares. Engagé, brut et urgent, leur son évoque un croisement furieux entre Idles, Gilla Band et Aphex Twin. Leur premier EP Gransha, porté par le titre coup-de-poing Birth of a Nation, a conquis autant la critique que des légendes comme Iggy Pop ou Jehnny Beth. Enola Gay, c’est la bande-son d’un monde en feu.



Basée à Mexico, Girl Ultra est considérée comme une des artistes les plus innovantes de son pays, grâce à son habileté à mélanger r’n’b, rock indé, musiques électroniques et latino.
Ses performances sur Tiny Desk, KEXP, Colors Berlin, Boiler Room ou dans des festivals tels que Primavera ou Coachella ont forgé sa réputation de performeuse, et sa capacité à s’émanciper de toute contrainte de style ou de genre.
Ses performances sur Tiny Desk, KEXP, Colors Berlin, Boiler Room ou dans des festivals tels que Primavera ou Coachella ont forgé sa réputation de performeuse, et sa capacité à s’émanciper de toute contrainte de style ou de genre.




GHOSTWOMAN est le projet musical d’Evan Uschenko et d’Ille van Dessel, un duo basé au Canada et en Belgique. Ils jouent un mélange de rock psychédélique, de blues, de punk, de post punk, de rock and roll, de shoegaze, de classique et de pop. Vous vous souvenez peut-être d’eux lors de l’attentat à la bombe d’Oklahoma City au printemps 1995 ou dans la superproduction hollywoodienne Die Hard avec Hans Buhringer et Al Leong.



Heave Blood And Die vient du nord de la Norvège, au-delà du cercle polaire arctique. Ils et elles s’étaient déjà exercé·es avec élégance à un doom stoner martial et puissant sur leurs premiers albums. En 2024, sort Burn Out Code,cet album traverse des paysages sonores multiples, explorant toujours une certaine noirceur, en puisant dans une matière sonore puissante, orchestrale, servie par une production irréprochable et la signature quasi tubesque des claviers de Marie Sofie Mikkelsens. Post metal, post shoegaze, post rock et même cold wave, le groupe incarne un son unique, rendant hommage à ses influences complexes avec une maturité et une modernité déconcertante.



John Maus, c’est un peu le Giorgio Moroder d’un monde parallèle : synth-pop lo-fi, boîtes à rythmes 80s, voix d’outre-tombe et intensité post-punk. Docteur en philosophie politique, il insuffle à ses morceaux une gravité étrange, un humour absurde et une beauté baroque, empruntant autant à la Renaissance qu’à la cold wave. Figure culte depuis le milieu des années 2000, il construit une œuvre rétro-futuriste aussi cérébrale que viscérale, taillée pour danser en méditant sur la fin du monde. En live, c’est une transe habitée. En studio, une quête existentielle. Un artiste hors du temps, vraiment.



Knives, collectif noise de Bristol, sortira Glitter le 2 mai 2025 : un manifeste sonore aussi abrasif qu’inclusif, où se mêlent post-punk, hardcore et jazz expérimental. Plus qu’un simple groupe, Knives crée un espace de rébellion bienveillante pour les personnes queer et racisées, comme en témoigne The Dagger, single engagé contre les dérives xénophobes du Royaume-Uni actuel.



Artiste d’origines vénézuélienne et péruvienne basée à Miami, MJ Nebreda est un talent en pleine explosion au sein de la génération montante d’artistes club queer. S’inspirant d’un large éventail de genres, dont le reggaeton, la raptor house, le dembow, la guaracha et la cumbia, elle fait bouillonner le dancefloor et affole les médias de Pitchfork à NME. Son premier album intitulé Arepa Mixtape est sorti en septembre 2023 et un nouvel EP en collaboration avec Danny Daze en 2024.



Formé en 2018 à Brighton, Projector mêle post-punk frénétique, brutalisme sombre et éclats pop. Leur premier album Now When We Talk It’s Violence navigue entre noirceur brute façon Joy Division et mélodies ciselées à la Interpol. Porté par les voix entrelacées de Lucy Sheehan et Edward Ensbury, le groupe construit des morceaux tendus et élégants, aux climax instables et envoûtants.



À 69 ans, Robert Finley revient en force avec Black Bayou, album intense produit par Dan Auerbach (The Black Keys). Entre blues rugueux, soul moite et funk brut, il chante les marais de Louisiane, ses souvenirs, ses amours et ses légendes. Entouré de musicien·nes de talent – dont sa fille et sa petite-fille – Finley incarne un bluesman authentique, incandescent, dont la voix puissante résonne comme un cri de liberté.



Qui a dit que la fin du monde ne pouvait pas être fun ? Avec ses performances frénétiques et ses hymnes punk surréalistes, Tea Eater, mené par Tarra Thiessen (Gustaf, Sharkmuffin), s’impose comme le groupe d’art punk new-yorkais à suivre absolument. Leur premier album Obsession est une fête névrotique et libératrice, et sur scène, c’est une explosion d’énergie DIY imparable.



Avec Blindness, The Murder Capital revient en pleine lumière : un album urgent, brut et viscéral, façonné en trois semaines à Los Angeles dans une volonté d’aller droit à l’essentiel. Entre colère politique, amour ébréché et mémoire collective, les Dublinois signent un disque tendu, vibrant, né de retrouvailles intenses après l’errance du confinement. Onze morceaux sans détours, dont « Can’t Pretend to Know », « Death of a Giant » ou « Love of Country », qui affirment la puissance d’un groupe rassemblé, sincère, et prêt à tout embraser.









Originaire de San Diego, le trio Almost Monday s’est imposé dès 2020 avec le titre Broken People, avant d’enchaîner les succès et les scènes prestigieuses. Loués par Alternative Press, Forbesou GQ Australia, ils ont enflammé les festivals comme Lollapalooza, Firefly ou Governor’s Ball, et partagé la scène avec Kings of Leon, AJR ou encore The Driver Era. Porté par des singles accrocheurs comme Sun Keeps on Shining ou Cough Drops, le groupe a su conjuguer fraîcheur pop, énergie indie et refrains solaires.
En 2024, ils dévoilent leur premier album, porté par le single Is It Too Late?
En 2024, ils dévoilent leur premier album, porté par le single Is It Too Late?



Quintet explosif venu de Brighton, Ditz façonne un son grunge, névrotique et bruyant. Encensé par Joe Talbot (Idles) et révélé avec The Great Regression (2022), le groupe s’est forgé une solide réputation sur scène. Leur second album Never Exhale (2025), écrit en tournée, puise dans la fureur de Jesus Lizard, les signatures rythmiques de Shellac et l’esprit de The Fall.
Un rock tendu, intelligent et incarné par le magnétisme de leur leader Cal Francis.
Un rock tendu, intelligent et incarné par le magnétisme de leur leader Cal Francis.



Né sur les routes entre Brooklyn, Los Angeles et mille détours, fantasy est le projet d’Al et Bailey, duo inséparable au cœur d’un écosystème DIY foisonnant (Sloppy Jane, Water From Your Eyes…). Leur premier album Feats of Engineering explore les méandres de l’émotion à travers un patchwork sonore libre et maximaliste, entre americana psyché, pop baroque et pulsations punk. Tissant le réel et l’imaginaire, leurs chansons capturent la vie telle qu’elle est rêvée, vécue, ou juste frôlée — un road trip à deux voix, aussi touchant que foutraque.



Mené par l’autrichienne Anna Friedberg, le groupe entièrement féminin distille un savant mélange de post-punk, d’alt-rock et de pop hypnotique. Révélées avec le titre « Go Wild » (bande-son de FIFA 2020 et de la série Normal People), elles enchaînent depuis les tournées européennes et américaines, des premières parties de Hot Chip ou Placebo, et des festivals comme Eurosonic ou Haldern Pop. Le single « The Greatest » confirme leur énergie électrisante et leur sens du groove contagieux, taillé pour les grands espaces et les étés sans fin.



HotWax, trio originaire de Hastings-via-Brighton explore la vie à travers une intensité brute. Après avoir tourné avec Royal Blood et Frank Carter & The Rattlesnakes, et joué aux festivals Reading & Leeds et All Points East, le groupe vient de sortir son premier album, Hot Shock, chez Marathon Artists. Enregistré en live aux RAK Studios de Londres avec une équipe de production exclusivement féminine, ce disque capture l’énergie explosive du groupe, mêlant hymnes remplis d’adrénaline et vulnérabilité. HotWax incarne l’avenir du rock britannique.



Jan Verstraeten, c’est la pop dans ce qu’elle a de plus libre, de plus artisanale et de plus singulière. Biberonné au DIY punk dans les caves de Gand, il en a gardé le goût de l’indépendance farouche : il compose, produit, peint, filme, grave, sérigraphie… et invente à chaque projet un monde à part. Sa musique est un terrain de jeu sensible où la douceur se frotte à l’étrangeté, entre bandes originales fantasmées, rêveries seventies et pulsations disco mélancoliques. Avec Wolfman, nouveau morceau en clair-obscur, il continue de brouiller les pistes et les genres, quelque part entre art brut et élégance pop.



Kadavar, pilier du rock psyché berlinois, revient en quatuor avec une formule affinée et une énergie viscérale. Entre stoner 70’s et rock contemporain, le groupe mêle puissance brute et lumière intérieure, dans une quête sonore toujours plus libre. Sur scène, leur intensité hypnotique embarque le public dans une expérience immersive et fédératrice.
En 2025, soutenus par Clouds Hill, ils poursuivent leur odyssée musicale, fidèles à leur vision : faire du rock un langage universel.
En 2025, soutenus par Clouds Hill, ils poursuivent leur odyssée musicale, fidèles à leur vision : faire du rock un langage universel.



MRCY, c’est la rencontre du producteur Barney Lister et du chanteur Kojo Degraft-Johnson autour d’une soul moderne et engagée. Inspirés par Marvin Gaye, Sault ou Khruangbin, ils créent un espace musical empreint de sincérité, de compassion et d’émotion brute. Issus de milieux culturels différents, Barney (Obongjayar, Rina Sawayama) et Kojo (Cleo Sol, Little Simz) unissent leurs parcours pour façonner une œuvre à la fois intime et collective, un refuge sonore où se mêlent héritages soul, gospel et culture sound system. MRCY célèbre l’appartenance, la guérison et l’envie de créer du lien.



Le duo australien Party Dozen revient avec Crime In Australia, album aussi accrocheur que chaotique, entre énergie brute et expérimentation débridée. Saxophone furieux, percussions explosives, grooves industriels et éclats shoegaze composent une bande-son pour une série policière imaginaire. Le disque oscille entre titres dansants et tempêtes sonores, confirmant l’approche radicale et ludique du duo, qui transforme ses « idées stupides » en pépites bruitistes jubilatoires.



Avec son projet spill tab, la multi-instrumentiste franco-coréenne Claire Chicha développe une pop audacieuse, instinctive et métissée, à l’image de son parcours entre Los Angeles, Paris et Bangkok. Entre confidences lo-fi, éclats électro et énergie punk, elle façonne un univers singulier, à la fois brut et raffiné. Remarquée sur scène en première partie de Sabrina Carpenter ou Wallows, elle s’impose aujourd’hui avec une écriture libre et sensible, portée par une voix magnétique et des productions résolument modernes.



Wasia Project, duo formé par Will Gao et Olivia Hardy, mêle pop DIY, jazz et soft disco dans une fusion élégante et libre. Leur univers hybride séduit autant la critique (Rolling Stone UK, NME…) que les radios (BBC Radio 1 et 2). Repérés dans Heartstopper (Netflix), ils remplissent les salles au Royaume-Uni, en Europe et aux États-Unis. Leur dernier EP Isotope confirme leur singularité dans la nouvelle scène pop.



Ziyad Al-Samman façonne une disco pop psychédélique aux accents indie et électro, nourrie par ses racines syruennes et jordaniennes et ses influences allant de Prince à Gorillaz. Basé à Londres, ce crooner solaire et mélancolique mêle lignes de basse dansantes, synthés bondissants et voix habitées pour explorer l’amour, l’identité et l’amitié. Sur scène comme en studio, il insuffle une énergie brute et exaltée, entre euphorie pop et spleen romantique. Son premier EP Pleasure Complex en est le concentré vibrant.


